Collection Jeune – Vieux. Échanges Internationaux (1/3)

• Joëlle, je vais encore te solliciter, tu as fait un effort en prenant un des garçons chez toi pendant le week-end de la Pentecôte pour notre échange des équipes de garçons de 19 ans, je regarde la liste dans tous les sens, il reste un garçon à caser.
Tu avais deux s garçon et fille, tu devais avoir une chambre pour chacun, peux-tu faire l’effort de prendre ce dernier garçon chez toi.
• Vous m’apportez tant de réconfort depuis la tromperie de Fred qu’il m’est impossible de refuser, mais j’espère que dans le village, on ne va pas jaser.

C’est ainsi que ma vie a basculé, Pierre le président du club de rugby de notre petite ville près de Toulouse qui a été élue suite au départ de Fred mon mari, pardon ex-mari parti vivre à Bordeaux avec sa jeune pétasse.
Nous vivions heureux dans notre maison que nous avions enfin terminée de payer, avec nos deux s, ne manquant de rien, lui étant ingénieur chez Airbus et moi professeur d’anglais dans notre collège.
Ma fille Mélodie est partie de la maison, il y a quatre ans et a fait de moi une grand-mère heureuse, même si mon petit-fils me manque, son mari étant américain, ils habitent à New York près de central parc.
À 30 ans, son mari est directeur d’une agence bancaire internationalement connue, c’est dans cette banque qu’ils se sont connus pendant un stage où elle était allée pour sa formation de fin d’études.
Mon fils Yvon, est parti à Paris pour ses études, il s’est mis en ménage avec Claire jeunette de 20 ans lui en ayant 22, quand ils sont venus lors des dernières vacances, ils formaient un beau couple et surtout un couple heureux.

Je l’étais aussi, jusqu’il y a deux ans quand Fred m’a annoncé qu’il me quittait pour prendre un poste mieux rémunéré à Bordeaux, j’étais prête à demander ma mutation, cette ville étant très agréable avec en plus la mer à deux pas.
Il y a un mot qui m’avait échappé « Quittait », j’ai vite compris qu’il partait avec Maryse, petite blonde bien foutue de notre équipe féminine de rugby.


Petite blonde, car elle jouait à l’arrière de notre équipe et était fine et élancée.
Serge avait 43 ans, elle 24, presque l’âge de nos s.
Mon éducation religieuse non-pratiquante a été légèrement offusquée, mais la crise de la quarantaine avait frappé notre couple.
Je me suis remise en question, certes, j’avais un ou deux kilos de trop suite à la vie à cent à l’heure que nous vivons, mais je pensais être encore désirable à ses yeux du moins pour finir notre vie tranquillement ensemble.
J’aurais pu me jeter en larmes à ses pieds, essayant de le faire fléchir, mais mon orgueil et surtout le fait que c’est ce qu’avait fait Florence une collègue professeur de math pour garder le sien, ce qui a été vain, car elle s’est humiliée et il est parti tout de même.

Quand il m’a quitté, Pierre a été nommé président à sa place, il est venu me voir pour me proposer d’entrer au bureau du club pour m’occuper de la trésorerie.
J’avais remplacé la femme qui tenait ce poste pendant une période où elle était malade, j’ai accepté simplement par amitié, m’apercevant bien vite qu’il avait des vues sur la femme encore baisable que j’étais.
Je lui ai gentiment fait comprendre qu’il avait cinquante ans, même si les jeunes n’étaient pas ma tasse de thé, je désirais prendre un certain recul avant de m’engager de nouveau.
Pierre est célibataire, mais un homme intelligent et il a accepté que nous gardions simplement des relations de bon voisinage, lui comme président, moi comme trésorière.

Après mon acceptation, j’attends l’arrivée du bus de l’équipe anglaise avec toutes les familles qui ont un fils dans notre l’équipe, il arrive de Richmond

• Tom, Joëlle, John, Joëlle, vous venez les garçons, c’est chez moi que vous allez dormir pendant ces trois jours.
• Bonjour, madame Joëlle, je suis beaucoup heureux de vous connaître.
• Tom, tu vas d’entrer me prendre pour une vieille rabat-joie, mais en Français ont dit « je suis très heureux de vous connaître » et non pas « je suis beaucoup », ce sont les subtilités de notre langue, « Très » et « Beaucoup » sont des synonymes.

• Merci, madame Joëlle, nous sommes là pour jouer un match de rugby, mais aussi pour parfaire notre Français.

Je les fais monter dans ma voiture que j’ai prise à cause de leurs bagages, je devrais dire leur sac de sport, un kilomètre plus loin, je me gare dans mon jardin et je leur montre leur chambre.
À dix-sept heures, ils ont rendez-vous au stade pour un décrassage avant de manger là-bas un traiteur s’occupant des repas.

Il est vingt heures quand après avoir dîné d’une feuille de salade afin de garder ma ligne après avoir perdu les deux kilos que j’avais de trop, je vais prendre mon bain, passé ma nuisette et ma robe de chambre avant de m’allonger sur mon canapé pour lire le dernier roman d’Amélie Nothomb.

Que m’arrive-t-il, qui m’embrasse la chatte ?
Je m’éveille, Tom est à genoux à hauteur de mon pubis et commence à me lécher.
J’ai un mouvement pour me libérer, mais il me tient les jambes et va même jusqu’à les ouvrir sans plus de résistance de ma part, j’ai une circonstance atténuante, depuis le départ de mon ex, ma chatte est restée chaste.

• Joëlle, laisse-le faire, il est puceau, une femme a deux bouches et je vais prendre celle qui est libre, quand nous sommes entrés ta posture impudique le peignoir ouvert, ta nuisette remontée nous a attirés comme un aimant.

Avant que j’aie le temps de réagir, il pose sa bouche sur la mienne et inexorablement mes lèvres se desserrent acceptant sa langue sur la mienne.
Je perds doublement la tête quand John se relève et sortant sa bite la présence à mes lèvres.
Je n’ai jamais sucé Fred malgré ses sollicitations, en même temps qu’elle entre dans ma bouche, je me demande si Maryse la suce ce qui l’a fait basculer bien que sa jeunesse ait pu être primordiale.
Je dégage ma main et viens enserrer ce sexe qui entre et qui sort de moi comme le fait rapidement celui de Tom qui est venu dans ma fourche pour plonger son sexe en moi se déniaisant au passage.

C’est vraiment un puceau, car j’ai à peine le temps de le sentir qu’il éjacule dans mon vagin.

• Laisse-moi la place Tom, je vais te faire voir comment on fait couiner une salope comme l’est notre hôtesse.

C’est en anglais qu’il donne cet ordre à son puceau de copain, il est vrai que je suis frustré, accepté ces petits jeunots en moi certes, mais au moins j’aimerais y retrouver du plaisir.

• Place-toi en levrette Joëlle.

Tom m’ayant libérée, là, c’est en français qu’il me donne cet ordre, je suis les directives que ce garçon plein d’assurance montre, une fois placée comme il le désire, je le sens chercher son chemin bien lubrifié par le sperme de celui qui vient de me quitter.

• Mets-lui ta bite dans la bouche qu’elle te la nettoie, tu as tellement de réserve depuis dix-neuf ans que tu attends ce moment que je suis sûr que tu vas lui cracher ton foutre une nouvelle fois, mais au fond de sa gorge.
C’est bon Joëlle, aimes-tu ?
• Oh ! Oui.

C’est d’une toute petite voix que je m’entends répondre avant d’avaler et surtout lécher le sexe à nettoyer, je m’acquitte de cette tâche du mieux possible au point que lorsque John m’apporte un plaisir montant le long de ma colonne vertébrale pour irradier jusqu’à mon cerveau.
Le puissant jet de sperme, reçus au fond de ma gorge, est divin.

• Les garçons, éclatés-moi, faîte de moi ce que vous voulez,
• Je vais te sodomiser, j’adore remplir le rectum des filles, j’aime aussi avec les garçons, Tom, tu es partant.
• Espèce d’homo, si tu me touches, tu prends mon point dans la gueule, essaye simplement pour voir.

Comme il me l’a dit et une nouvelle fois sans aucun recul de ma part, je sens son sexe venir caresser mon anus, il se promène de mon clito qui est chauffé à blanc jusqu’à mon petit trou qui attend le moment où la bite du jeune Anglais va l’éclater.
Je devrais profiter des rares moments de lucidité qui me reste encore pour les arrêter, que faire quand deux secondes après une petite voix me disent de profiter de l’instant présent, mais si ces deux garçons sont plus jeunes que vos propres s.

Je comprends que Fred est craqué, l’âge, je finis par m’en foutre, le principal, c’est de me faire foutre.
Mon anus éclate sous la pousser de la bite qui rapidement se retrouve au plus loin qu’elle peut entrer, instinctivement des muscles entourant mon anus réagissent, j’ignorais leurs existences, mais je les commande pour que le garçon sente la salope qu’il a faite de moi.

Avec Fred, jamais il me serait venu à l’esprit de me faire enfiler par ma rosette, comme il n’a jamais placé sa verge comme l’a fait mon amant de vingt ans, nous avons ignoré cette pratique, mais est-ce bien le moment de philosopher surtout moi qui étais nul dans cette matière, heureusement qu’au bac le coefficient était au plus bas.

• Viens dans ta chambre, on sera plus à l’aise sur ton lit, on est loin d’en avoir fini avec toi, Tom doit apprendre à faire jouir une meuf, tu as été nul tout à l’heure.
• Soit sympa John, tu as été performant la première fois que tu as baisée !
• Les garçons, voulez-vous boire et manger quelque chose, j'en prendrais bien un ?
• Oui ma belle et on va te sauter dans ta cuisine, tu l’as déjà fait avec ton mari.
• Laissez-le où il est, tu as raison, je vous ai cédé, autant profiter de cette nuit pour prendre du bon temps, surtout que demain vous avez match.
• La pute Tom, elle nous vide les couilles pour que nous épargnions ses petits chéris, il y en a qui te saute ?
• Restez correct, ce qui arrive est un fait du hasard, j’ignorais que ma jambe allait tomber en dormant ouvrant mon peignoir et vous dégagent mon intimité…

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